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LIENS

Chap 9 : supputations, conjectures de la jalousie

Alors qu’il était seul en l ‘abîme dans lequel il se trouvait, une voix vibrante se fit entendre.
« harry… ? par merlin harry c’est bien toi… ? mais où est tu ? »
« Pro…Professeur snape… ? mais où êtes vous, je ne vous vois pas…en ce qui me concerne, je suis dans l’esprit de voldemort. »
« je te vois grâce à un écran qui est relier à toi, je t’expliquerais plus tard. Pour le moment, il faut que je trouve une potion pour te sortir de ton coma, et pour cela, tu dois me dire de quoi est constituée ta drogue. »
harry sembla particulièrement gêné.
« non, je ne peux pas professeur, et heu..Depuis combien de temps me voyez-vous … ? Qu’avez vous vu? »
« mr potter, vous devez me donnez cette composition, votre survie en dépend ! et de quoi parlez vous, je viens d’activez l’écran et je sui directement tombé sur vous. Vous êtes dans le coma depuis quelques jours maintenant, votre vie est en danger»
« non ! je ne peux pas, je …je me suis lancé un sort qui m’empêche de révéler cette composition, même sous véritasérum. Mais j’ai des informations d’une importance capitale à vous révéler. .. »
harry raconta ainsi tout ce qu’il avait appris sur voldemort, et se points faible, sa rencontre avec tom… sur le coup, severus s’était sentit légèrement ombrageux face à la description qu’en faisait son élève .
il prit néanmoins les infos du jeune homme avant que leur communication de soit coupé par l’apparition de tom dans la réalité de harry, qui empêchait severus de le voir d’avantage.
Il décida donc de s’occuper de transmettre les nouvelles données qu’il avait pour vaincre voldemort à l’ordre.

OOoOo

De son coté, harry se retrouva face à son désormais amis.
« tom, que c’est il passé, je pouvais parler avec quelqu’un de l’autre coté ! pourquoi ça a coupé ? »
« je ne sais pas » affirma tom d’une manière un peu trop innocente.
« mais …, je n’ais pas eu le temps de le prévenir…tom, je lui est répété ce que tu m’a dit sur les horcruxes, mais je n’ai pas pu lui dire de ne pas lé détruire…si nous lé regroupons tous, nous pourrions les remettre dans ton esprit, et reformer ainsi ton âme, é tu pourrais prendre le dessus sur voldemort. » Débita Harry.
L’expression de tom passa alors de l’innocence à une profonde tristesse.
« harry…il faut que je te dise quelque chose… »
le gryffon ne compris tout d’abord pas, et le coupa.
« tom, je sais que tu pense que s’est impossible, mais je suis sure que l’on peut te sauver… »
« stop ! harry, écoute moi ! tu . ne . peu . pas . me .sauver ! je pensais pouvoir te le cacher, mais puisque tu insiste tant… je vais mourir, et toi aussi si tu ne trouve pas un moyen de sortir de ton coma. »
le visage d’harry se décomposa.
« co…comment… ? Pourquoi vas-tu mourir… ? je ne comprends pas. »
« je vais mourir harry, parce que tu es dans mon esprit, dans mon âme, et que tu ma contaminé de ce qui ta plongé dans le coma, seulement moi, voldemort, je ne vais pas me rendre compte de ce qu’il m’arrive, juste une petite fatigue ; seulement je ne me réveillerais pas. D’ailleurs, je sens déjà mon être s’affaiblir. »
harry sembla se liquéfier sur place.
« Non ! ce n’est pas possible ! mais qu’ais -je fait ! »
« Tu accomplis la prophétie Harry. Et chaque jour un peu plus»
Le survivant s’effondra sur une chaise.
« je ne voulais pas, je ne voulais pas, je ne voulais pas… »
tom s’approcha de lui et transforma la chaise en canapé. Il s’assit à ses cotés, et le pris dans ses bras de manière réconfortante tout en lui soufflant à l’oreille.
« ssssshhh…tu ne pouvais pas savoir harry, je ne t’en veux pas. Ça devait arrivé. Ne t’inquiète pas. »
de son côté, harry se calmais peu à peu entre les bras de tom. Et sans qu’il ne sache pourquoi, il se mit à pleurer, silencieusement.
Lorsque tom s’en rendit compte, il resserra un peu plus son étreinte. Et s’est ainsi que harry s’assoupit pour la première fois depuis son arrivée dans l’esprit de voldemort. Quand harry fut assé endormis, tom se déplaça, de manière a ce qu’ils soient tout les deux allongés, harry toujours fermement serré contre son torse dans ses bras.
Et s’est avec un petit sourire très serpentard qu’il s’assoupis à son tour tant il se sentait bien, ce qu’il n’avait pas ressentit depuis longtemps.

OoOoOoO

Dans ses appartements, severus s’inquiétait, il n’arrivais plus à joindre harry depuis la coupure.
Mais quelques heures plus tard, l’objet ce manifesta de nouveau.
Le maître des potion passa d’un air inquiet, à un air rassuré, avant de se décomposer.
Sous ses yeux, harry enlacé par tom, les deux semblaient si paisibles.
Le cœur de severus se ressera dans sa poitrine.
Au moins il va bien pensa-il amèrement .
Mais malgré l’éloge que harry lui avait fait de son nouveau compagnon, severus n’avait pas pour autant confiance en tom.
Car il savait bien cependant, que tom restait une partie de voldemort.
Et que tom même lorsque son âme était entière était loin d’être un enfant de cœur…
C’est ainsi que severus en était venu à la conclusion que tom manipulait harry. Dans quel but, il ne savait pas, il y en avait tellement.
-tuer harry, pour que aucun d’eux ne survive.
-profité de harry pour avoir des informations sur l’ordre, ou sur la drogue.
-ou bien encore juste pour abuser de harry, de toutes les manière possibles.
A ces pensées, le sang de severus ne fit qu’un tour. Et c’est dans cet état d’esprit qu’il partit d’un pas décidé vers les appartements de harry dans l’espoir de trouver quelque chose qui puisse l’aider pour l’antidote. Bien qu’il est déjà jeté un œil .
Harry était un jeune homme assé ‘bordélique’, des vêtements traînaient un peu partout, des magazines, des livres de cours, et un grand nombre de parchemins.
Déterminé à ne pas faire la fine bouche, il se mit a trier ( magiquement) tout ce qui lui passait sous la mains. Mais après un long moment, il n’avait toujours rien trouvé d’intéressant ; il s’assit alors sur le canapé du petit salon, se reposant de ses recherches.
Il poussa un soupire lourd de signification et jura dans sa barbe avant de s’affaler un peu plus sur le sofa.
C’est alors, qu’une étrange lointaine se fit entendre. Severus tourna immédiatement la tête vers l’origine du bruit.
« bonjours à vous cher professeur » le maître des potion se rapprocha alors d’un tableau représentant un sombre paysage orageux, où un jeune homme mince a la chevelure longe et aussi noir que l’eau du lac au bord duquel il était, tenait dans une de ses main un livre alors que l’autre était posé au sol derrière lui, le maintenant dans une position assise stable ; et au dessus de lui, un sol pleureur ployait, laissant quelques feuilles tomber ça et là.
« c’est donc vous le fameux snape… ? » le jeune homme le toisa.
« je ne m’attendais pas à … à ce que vous soyez comme cela… »
severus se sentait insulté par le ton utilisé mais rétorqua calmement.
« ne vous en déplaise, je suis en effet severus snape »
le jeune homme leva le yeux au ciel…
« ouai, et bien harry est encore plus dérangé que je ne le pensais… » marmonna t-il.
« Pardon ! »
« non rien, laissez tomber, donc puis je savoir ce que vous êtes en train de cherché dans les affaires d’un adolescent alors que celui ci est actuellement inconscient, et qu’il ne vous à par conséquent pas donné son autorisation… ? »
« Sachez que je n’ai nullement à me justifier devant un simulacre de toile telle que vous, mais vous pourriez m’être utile… »
« Ho ! vous m’insultez et vous pensez par la suite que je vais vous prêter main-forte dans vos projets ? vous vous foutez le doigt dans l’œil jusqu’au coude si je puis dire ! »
« Calmez vous ! tous ce que je cherche à faire, c’est aider harry, et d’après ce que je vois, vous l’appréciez, alors si ce n’est pour moi, faite le pour le sauvez lui ! »
« Bien, soit, j’accepte, que voulez-vous savoir ? »
« Je recherche l’endroit où harry pourrait entreposer les recettes de ses drogues. En auriez-vous une idée ? »
« Et bien pour tout vous dire, j’en est en effet une…je le vois souvent trifoullier dans l’armoire qu’il a dissimulée derrière sa bibliothèque… Peut-être que cela pourra vous aider. Pour l’atteindre, il presse le 6e livre à gauche sur la 6e étagère en partant du haut. Il ne m’a jamais révélé le contenu exact de ce qu’elle contenait, ça doit être important. »
Sans plus attendre, severus se dirigeât vers la bibliothèque et appliqua les indications du tableau.
Devant lui, se dressait une imposante armoire en bois ébène. Il l’ouvrit d’un puissant sort de magie noire. Il découvrit alors, que celle ci était enchantée, et qu’elle tenait plus d’un profond placard, ou d’une petite réserve que d’une simple armoire.
Il y avait d’innombrables plantes et ingrédients divers et varier parfois interdits, classés et rangés.
De nombreux tomes de potions rares ou bien de ceux que l’on ne montre pas au premier venu sous peine de finir à azkaban étaient soigneusement alignés.
Dans un coin, des chaudrons, et un grand nombre d’autre accessoires de potion.
Mais ce qui attira le regard de severus fut un petit coffre (28x22cm a peu près). D’un autre puissant sort, il le déverrouilla, et y trouva un gros cahier de notes, un paquet de lettres, quelques magazines, et d’autres babioles sans importances.
Il prit tout d’abord les lettres, par pure curiosité. Et là, il se trouva choqué de les voir toutes attribué à son nom.
Il en ouvrit donc une :
Severus, je sais que je n’aurais jamais le cran ou même l’occasion de te faire parvenir ses lettre. Mais sache que je te suis plus que reconnaissant…..

Une autre disait :
Mes sentiments pour toi change de plus en plus severus, et cela me fait peur. Je n’arrive pas à me passer de mes scarifications et je sais que cela te déçoit énormément, ce qui me rend encore plus triste et me pousse presque à continuer pour oublier la culpabilité…c’est un cercle vicieux, mais tu me dirais que je cherche des excuses…Pardonne- moi…
Une des dernière expliquait:
Ho mon severus, je ne sais plus que faire, j’ai cessé mes coupures, mais je ne sais pas si cela t’intéresse vraiment.
J’ai toujours mal, mais j’ai une nouvelle solution. J’y travaille depuis quelque temps maintenant…Tu serais fière de ton élève si seulement tu savais…
Sev’ plus le temps passe, plus tu t’éloignes de moi d’une certaine manière, mais parfois tu as une attitude tellement ambiguë…je ne sais plus trop quoi penser, et pardessus tout, mes sentiment pour toi augmentent de plus en plus. Ho ! sev’, mon sev’ si tu savais combien je …
Severus s’arrêta là, n’étant pas sure de vouloir connaître la fin.
Il n’avait pas lu toutes les lettres qui était bien trop nombreuses…mais de ce qu’il avait retenu de ces dernières, c’est que harry avait empathie plus qu’il ne le pensait de son attitude envers lui. Et aussi que le jeune gryffi avait mis au point quelque chose qui remplaçait ses coupures, ça devait surement être la drogue.
Il reposa les lettres prenant soin de les reficelé comme il les avaient trouvées. Et il jeta un coup d’œil rapide sur les magazines, et qu’elle ne fut pas sa surprise de découvrir que dans la pile, les magazines de potions étaient mélangés avec des magazines érotiques gay… toujours égale a lui même pensa t-il amusé.
Et il s’empara enfin, du carnet de note qui semblait déjà bien rempli.
Il reconnut immédiatement son utilisation qui lui était familière.
C’était un carnet de confections de potions. ( un carnet dont les pages se rajoutes automatiquement au besoin).
Il jeta un rapide coup d’œil, certaines pages étaient barrées, griffonnées…Mais rien qui n’est un rapport avec les drogues. Il posa lors sans aucune délicatesse le carnet dans le coffre. Le son alors produit, le fit s’intéresser d’un peu plus prêt au fond du coffre.
Il frappa quelques petits coups, et découvrit la présence d’un double-fond.
A croire que harry devenait aussi paranoïaque que folle œil…
Ouvrit donc le fond secret, et y découvrit un autre carnet de note, vert émeraude.
Il l’ouvrit et découvrit alors toutes les versions de la drogue que harry avait testé. La majorité étant barrée.
Mais a la toute fin du carnet, une semblait avoir été approuvé par le confectionneur, avec quelques modifications et commentaires visibles.
Severus lu attentivement la marche à suivre, et les ingrédients.
Et comme l’avait prédit Harry, il était très impressionné par la complexité de la composition et les techniques utilisées.
alors il compris...