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Chapitre1 :

L’air était frais, attirant quiconque le croisait.

Ses cheveux châtains dans les airs, Hermione réfléchissait à ce qu’elle ferait de ses vacances. Rapidement la gryffondor fut rejointe par ses amis de toujours Harry et Ron.

Ensemble ils regardaient le parc de Poudlard, avec des yeux perdus et remplis de souvenirs, en silence, mais ce dernier se brisa.

Hermione : Pourquoi pars-tu faire tes études en France ? Je ne te comprends vraiment pas !
Ron : Tu sais à quel point j’aimerais y vivre plus tard !
Hermione : Tu sais les Français sont très différents de nous !
Ron : N’essaye pas de me dissuader ! Je partirais quoi qu’il arrive !
Harry (avec douleur) : Ce sera une très bonne expérience pour lui !
Ron : Je penserais quand même à vous… puis on s’écrira !
Hermione (déçue) : oui…

Harry ouvrit la marche et ils se promenèrent en se remémorant les souvenirs de cette année. Le rouquin leur manquerait beaucoup mais ils continueront leur vie, ici à Poudlard, ce lieu qu’ils aimaient par-dessus tout.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lorsque le temps de prendre le train fut arrivé, les gryffondors dirent un au revoir chaleureux au garde chasse et à mC Gonagall venue exceptionnellement sur le quai.

Lupin (appellant): HARRY!!! HERMIONE!!! RON!!!

Harry se retourna ainsi que ses compères lorsqu’ils entendirent l’appel haletant. Une fois leur professeur devant eux il commença à s’exclamer :
Lupin : Enfin je vous trouve ! Je croyais que je ne vous trouverai pas ! Harry il est convenu que tu viennes au mois d’Août chez Sirius puis si Hermione et Ron veulent venir il n’y a pas de problèmes !

Harry : Vous serez la ?
Lupin : Oui, je vais aider Sirius à mettre un peu d’ordre puis je m’en irais en Ireland avant de reprendre les cours.
Harry : Alors on se verra plus tard !
Lupin : c’est ça ! J’espère que tout se passera bien chez ton oncle et ta tante pour cette dernière année !
Harry : je vous raconterais !
Lupin : j’espère bien ! Le train va partir !
Hermione et Ron : Au revoir professeur !

Lupin les regarda et s’en alla en direction du château. Une fois arrivée à la gare moldus, les élèves furent très rapidement rejoins par leur famille respective, les Dursley n’étaient pas là, ce qui n’étonna que très peu le gryffondor.

Mrs Weasley était dans un état d’excitation incomparable pour une raison inconnue.

L’heure des adieux passée, le survivant entra seul dans un taxi pour se rendre dans sa famille de substitution, celle qu’il haïssait temps. En chemin il se répétait frénétiquement « c’est la dernière fois que tu les verras… »

Etait-ce la dernière fois qu’il verrait son ami Ronald ?
A ce moment il aurait voulu le savoir mais cette question s’échappa de son esprit lorsqu’il fut arrivé à Privet Drive.
Il regarda la maison et laissa échapper un vif soufflement avant d’avancer d’un pas décidé vers la porte. Une fois à l’intérieur, l’accueil des Dursley ne changea pas de l’ordinaire, froid, distant et cet air mieilleux qui leur était si familier…
Lors d’un dîner où avait été invité un des collèges de Vernon, Harry fut une nouvelle fois contraint de garder la chambre comme un malade.

Il n’était pas question de ne rien faire alors il en profita pour sortir dans la rue et si possible s’oxygéner l’esprit ; il faut dire qu’une journée avec cette famille (si on peu appeler ça une famille) rend fou.

Ce premier mois de vacances s’acheva enfin, à la plus grande joie de l’orphelin qui ne supportait plus les murs de cette maison, cette horrible demeure.

Cela signifiait à ses yeux la fin d’une parie de sa vie, la fin de ses mois abominables passés en telle compagnie de gens abominables, des moldus répugnant.



OoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Comme convenu, le 1er Août Sirius vint chercher son filleul en pleine excitation à la seule pensée de ne plus voir ses humains de sa vie.

A l’heure du déjeuner il rentra discrètement dans la maison de son parrain où l’attendait un repas fumant préparé par Lupin.
Stupéfait le gryffondor s’assit et mangea en racontant les perles de ses aventures chez les Dursley. Avec étonnement il se rendit compte que cela lui manquerait tout de même un peu…

Le rire les pris à la gorge, des larmes jaillirent des yeux fatigués des deux hommes. Que leur arrivaient-ils ? Leur comportement était vraiment étrange, voir effrayant.

Après la partie d’échec magique Harry reçu sa première lettre des vacances qui venait de la gryffondor. Elle viendrait passé quelques jours avec lui, si ça lui convenait bien entendu !
Il était heureux comme il ne l’avait pas été depuis longtemps. Ces semaines à Privet Drive lui avaient paru durer une éternité mais il ne voulait plus y songer, et il avait bien raison.

Une fois Hermione dans ses bras chaleureux, son bonheur fut intense. Mais il manquait néanmoins son ami Ron, il ne le reverrait plus et son amitié se détruirait peu à peu.

Il ne voulait plus y penser même si le visage du gryffondor lui revenait en permanence à l’esprit.
Même s’il ne voulait pas montrer sa tristesse et cacher sa solitude derrière son sourire éphémère, il ne pouvait se résoudre à oublier ces joies qu’il avait vécues depuis leur première rencontre.

Quelque jour en retard Sirius et Lupin offrirent une fête inoubliable à leur protégé.
Ils ne manquaient rien pour que ce soit parfait. Ron et sa famille était venu pour l’occasion accompagnée de Dumbledore, Mc Gonall et Severus.
Il fut tellement étonné, il pensait ne plus jamais revoir son ami mais ce qui faisait le plus tilt dans sa tête c’était la présence de Snape, il n’arrivait décidemment pas à comprendre sa présence, plus que gênante.

Harry (à la vue de SSS) : Qu’est ce que Rogue fait ici ?
Sirius : je l’ai invité ! Il est tant que tu enterres la hache de guerre !
Harry : C’est à cause de lui que mes parents sont morts !
Sirius : James et Lily devaient mourir ! Ils avaient provoqué Voldemort! Personne ne lui résistait et tu le sais pertinemment !
Ils avaient scellé leur destin ! Il reconnaît son erreur et la regrette profondément !
Harry : C’est un traître !
Harry pris ses jambes à son cou mais avant de pouvoir franchir la porte il fut interpellé par celui qu’il haïssait par-dessus tout, celui qui avait livré les seuls Etre qui l’aurait aimé.
Snape : Potter ! Où allez vous ?
Harry : Je sors! J’étouffe !
Snape : Vous m’en voudrez toujours, Potter!?
Harry : Je vous détruirais comme vous avez détruit mes parents !
Snape : Petit prétentieux ! Vous êtes aussi pitoyable que James. Il m’arrive encore de me demander ce que votre mère lui a trouvé.
Le gryffondor en avait mare. Il en venait à souhaiter que cette fête n’ait jamais eu lieu.
Elle fut très vite achevée.

OoOoOoO

L’heure du départ venues, Harry partit le cœur gros mais pardonnant en partie le comportement de son parrain.

SUITE