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LIENS
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Chapitre
10
Ça fait deux
jours que je suis à la maison et Poudlard me manque terriblement.
Surtout la présence de James. Je sais, c’est fou, mais c’est
la vérité. Il me manque trop. Je crois que… c’est
assez dure à dire mais…je crois que je l’aime. Non
sérieusement. Ce sentiment a était plus clair dans ma tête
depuis ce qui c’est passé avec Crighton. Quand je me suis
sauvé de ses sales pattes et que j’ai vu James quelques minutes
après, je n’avais jamais était aussi contente de le
voir. J’étais sur à ce moment là que j’étais
sauve. Aurais-je ressenti ce même sentiment si ça avait était
un autre garçon ? Non je ne pense pas. Si ça avait était
un autre je serais quand même aller chercher James. Je me suis rendu
compte que le seul endroit ou je me sentais en sécurité
c’était l’endroit où se trouvait James. C’est
un peu comme mon prince charmant. Mais si je l’aime, je ne pense
que ce soit juste pour cette raison. Non. En fait, je pense que j’ai
des sentiments pour lui depuis longtemps, si je cherche bien, c’est
sûrement depuis le début de l’année voir depuis
plus longtemps, mais c’est réellement en début d’année
que ça c’est déclenché. Le voir m’ignorer
m’a énervé et si j’étais énervé
à ce point, c’était peut être que sans le voir,
je souffrais. Et ça va sans doute paraître bizarre, mais
d’un côté, si je déteste son fan club, c’est
parce qu’il était proche de ces filles. Je les enviais en
quelque sorte, mais il ne faut pas abuser non plus. Je les enviais mais
de loin. Pas de confusion, je ne veux pas être comme elles. Plutôt
mourir. Mais les faits sont là. Il était plus détendu
avec ses filles, il était… lui-même et pas avec moi.
Avec lui, c’était toujours gueuler, gueuler, gueuler. Tout
le monde me disait qu’il était super sympa. J’étais
la seule à le détester.
Après tout, depuis la quatrième année, il me demande
de sortir avec lui, il me dit qu’il m’aime, il me drague…
n’est ce pas ce que toutes les filles désirent d’une
certaine manière: ce faire draguer, être importante aux yeux
d’un garçon et qui, en plus est super craquant. Plusieurs
fois des filles m’ont dit qu’elles rêveraient d’être
à ma place.
Mais bon ça c’est le passé. Tout est différent
à présent et maintenant j’ai des sentiments pour lui.
La preuve, depuis le début des vacances je ne fais que de penser
à lui. Il occupe tout mon esprit. Si ce n’est pas ça
l’amour ? Par contre si c’est mon grand amour ça je
n’en sais rien du tout. Et maintenant ? Qu’est ce qui va se
passer ? Ça je l’ignore. On va laisser le temps et on verra.
Il ne faut rein précipité. Il faut que je demande des conseils
à Pauline et Mélissa. Elles s’y connaissent mieux
en matière de mec, surtout Pauline. Aucune décision avant
que je retourne à Poudlard.
Aujourd’hui c’est le matin de Noël. Je descends dans
le salon pour aller ouvrir mes cadeaux.
-Joyeux Noël, me dit ma mère en me voyant apparaître
dans le salon.
-Joyeux Noël maman, joyeux Noël à toi aussi papa.
-Joyeux Noël ma chérie, me dit mon père qui est assis
sur le fauteuil.
Je ne dis rien à Pétunia. Depuis hier matin, elle me tape
sur le système. Ce soir, il y a son fiancé, ce gros balourd
de Vernon Dursley qui vient dîner à la maison, et elle énerve
tout le monde avec ça. Elle tient absolument à ce que tous
soit parfait. Et quand il manque quelque chose elle commence à
piquer des crises : « mais où sont passé ci »
« il faut que tous soit en ordre pour demain » et blablabla.
Espérons que ses enfants n’hériteront pas de ce trait
de caractère, parce que sinon sa demeure deviendrais une maison
de fou.
Je m’assois devant le sapin et je vois tout un tas de paquets pour
moi. Il y en a plus que les années précédentes. Sans
doute des cadeaux de la part de Sirius, Remus et James. Je commence à
ouvrir mes cadeaux. Le premier est celui de Pauline. Elle m’a offert
tout un tas de maquillage. Sans doute sa manière de me répéter
que je dois plus me mettre en valeur. Ensuite j’ouvre celui de Mélissa.
Elle m’a offert des vêtements moldus, ils sont super.
J’ouvre mes autres paquets. Remus m’a offert un livre très
intéressant sur l’ancienne magie, Remus tout un tas de Bombabousse,
et d’autre objet de farces et attrapes. Après tout un tas
d’autres cadeaux, je finis par celui de James. Le meilleur pour
la fin bien sûr. Je déchire le papier cadeau qui cachait
un écrin de velours vert, carré. Je regarde ma mère.
Elle paraît intrigué par ce cadeau, et moi aussi. je l’ouvre
et…
-Par la barbe de Merlin !
Ma mère se précipite vers moi pour voir ce que contenait
l’écrin.
-oh lala ! Mais c’est absolument magnifique ! S’exclame ma
mère à son tour.
Alors là, James il a fait fort. Dans l’écrin il y
avait un superbe collier. Le pendentif c’est mon prénom,
en argent et sur le point du i de mon prénom, il y a une émeraude.
Accompagné du collier, il y a une paire de boucle d’oreille.
Ce sont eux aussi des émeraudes. Je suis bouche bée. C’est
beaucoup trop. Ça à dut lui coûter une fortune. Moi
je lui ai offert un nécessaire à balais. Je ne savais pas
trop quoi lui offrir et comme je sais qu’il aime le quidditch…
mais mon cadeau par rapport au sien c’est rien.
-Ce garçon est tous simplement charmant, dit ma mère. S’il
t’a offert un bijou, ça veut dire qu’il tient beaucoup
à toi. Tu sais, je pense que vous iriez très bien ensemble.
Personnellement, avoir un gendre comme lui ne me dérangerais pas
le moins du monde.
-Maman ! ai
Elle va un peu loin là.
-Viens voir Pétunia ce que James a offert à ta sœur,
dit ma mère.
Pétunia est très en colère apparemment. Elle s’approche
de ma mère et lorsqu’elle voit les bijoux, ses yeux lancent
des éclairs. Elle pince ses lèvres, signe de jalousie et
d’énervement. J’adore quand elle réagit comme
ça. C’est cruel peut être, mais après tout c’est
elle qui a commencé la guerre, tous ça parce que je suis
une sorcière. Pour rajouter une couche dans sa rage, je lui dis
:
-Et toi pétunia ? Qu’est ce que ton cher Vernon t’a
offert ?
Elle me regarde avec haine. Si un sort devait exprimer la rage qu’il
y a dans ses yeux, ce serait sans hésiter Avada Kedavra. Ça
me fait rire.
-Et bien figurez-vous que Vernon m’a offert le tout dernier parfum
qui vient de sortir et qui sent extrêmement bon.
-c’est tout à fait charmant de sa part, dis-je avec une pointe
d’ironie. C’est peut-être dans le fond sa façon
de te dire que tu devrais…comment dire…changer d’odeur.
-tu veux dire que je sens mauvais c’est ça ? Me dit-elle
les yeux plissés de méchanceté.
-C’est toi qui l’as dit, pas moi, dis-je en haussant les épaules.
Parfait ! Elle est sur le point de péter un plomb.
-Toi, je te jure que…commença t-elle, rageuse
-Allons, allons Pétunia. Calme-toi, intervint mon père
-Mais Papa ! Se plaint-elle. Tu as vu ce qu’elle m’a dit…
-Voyons Pétunia, fais donc preuve d’un peu de fair-play,
dit ma mère. Aujourd’hui c’est Noël, et Lily est
joyeuse, alors elle blague avec tout le monde. Ne prend pas ce qu’elle
vient de dire au premier degré.
-Mais oui, Pèt’. Tu es ma grande sœur chérie.
Comment pourrais-je dire sérieusement ce que je viens de dire,
dis-je avec sarcasme, que mes parents n’ont pas remarqué.
Seul Pétunia s’en est rendu compte.
-Tu vois, elle plaisante, dit ma mère. C’est le bonheur qui
lui fait dire des plaisanteries. Il y a de quoi être heureuse, surtout
après ce que lui a offert James.
Pétunia partit dans sa chambre, folle de rage. On l’entend
même claquer la porte, et hurler :
-J’EN AI MARRE ! IL N’Y EN TOUJOURS QUE POUR ELLE !
Je crois bien qu’elle parle de moi. Moi aussi je décide de
monter dans ma chambre en prenant avec moi mes cadeaux. Une fois à
l’intérieur, je m’empresse d’essayer les vêtements
qu ‘elle ma offert. Elle m’a acheté un pull noir, un
débardeur vert, une jupe et un jean. Je mets le pull et le jean.
Je regarde mon lit et je vois l’écrin qui contient les bijoux.
Je décide de le prendre et de mettre le collier. Une fois au cou
je le regarde longuement en pensant à celui qui me l’a offert.
Ah ! James. A ce moment là, ma « charmante » sœur
déboule dans ma chambre.
-je suppose que tu es contente, dit-elle, énervée. Il suffit
que tu sois là depuis seulement deux jour et tu retiens toute l’attention.
Je suis tellement mieux quand tu n’es pas là. J’ai
les parents pour moi toute seule.
Je lève les sourcils, étonné.
-Figure-toi, que moi aussi je suis mieux loin de toi. J’ai de supers
amis, j’ai des cours très intéressant, alors avec
tout ça je ne vois pas le temps de penser à toi. Non en
fait, je n’ai pas envie de penser à toi. Je vais te dire
le fond de ma pensée, ton attitude capricieuse est totalement enfantine.
Ça ne t’est jamais vu à l’esprit qu’après
n’avoir pas vu leur enfant pendant près de trois mois, les
parents ont envient de prêter un tout petit peu plus d’attention
que l’autre qu’ils voient tout le temps. Tu es tellement pathétique.
Alors à moins que tu n’es d’autre reproche de gamin
à me dire, je te demande de sortir de ma chambre.
Elle me regarde avec son air méchant et sort de ma chambre.
Vers les alentours de treize heures, je descends déjeuner. Je ne
prête aucune attention à Pétunia. Quand ma mère
me voit et qu’elle remarqua que je portais le collier, elle dit
:
-Oh, mais ce collier te vas à ravir. Il te va très bien.
James a vraiment très bon goût.
Et ça y est c’est repartit. Elle est devenue accro à
James ou quoi ? Depuis qu’elle l’a rencontré, elle
en parle souvent. Et maintenant qu’il m’a offert ce fabuleux
cadeau, elle va pas arrêter. Ça devient un peu gênant
à la fin. Le déjeuner ce passe comme un déjeuné
traditionnel en famille, jusqu'à ce que j’entende comme un
toc toc à la fenêtre. Je vais voir et je vois un hibou avec
une lettre. J’ouvre la fenêtre, le hibou se pose sur mon poignet.
Je prends la lettre et le hibou s’envole. Je ferme la fenêtre
et regarde la lettre. Mais qui est-ce qui m’a écrit ? C’est
peut être James. j’ouvre la lettre avec espoir et je commence
à la lire :
Joyeux Noël, chère Lily, Je te signale que j’attends
toujours ma réponse. C’est très important.
Réponds-moi vite, je perds très vite patience. Alors le
plutôt sera le mieux.
Lord Voldemort.
Je deviens raide par la panique.
Oh mon Dieu ! Dîtes moi que c’est pas vrai ! Pourquoi vient-il
me faire chier le jour de Noël ? Et maintenant qu’est ce que
je fais ? Je sais. Il faut que j’aille voir James. Si j’ai
reçu cette lettre il l’a peut-être reçut lui
aussi.
-Lily ? Qu’est ce qui ce passe ? Me demanda ma mère en voyant
l’inquiétude sur mon visage.
-Euh…il faut que j’y sorte, dis-je en me précipitant
vers le porte manteau, et en prenant mon manteau.
-quoi ? Dit ma mère, mais où ? Et pourquoi ?
-je dois aller chez James, je ne peux pas t’expliquer pourquoi,
c’est assez compliqué. Ne vous inquiétiez pas.
-oh ! Tu vas chez James. Invite le donc à dîner pour ce soir.
J’aimerais énormément de l’avoir à notre
table, dit ma mère avec enthousiasme.
-Euh.. Ok je lui demanderais.
-Insiste, s’il refuse ! dit ma mère
-D’accord.
Ça je ne m’y attendais pas. Mais d’un côté
c’est une assez bonne idée.
-je vais transplaner dans le jardin, je ne sais pas quand je reviendrais,
mais je serais là avant le dîner. A plus tard.
Je cours vers le jardin, mais une fois là-bas je me rends compte
que je ne sais même pas, où il habite. Tous ce que je sais
c’est qu’il habite un manoir. Peut-être que si je pense
très fort « le manoir de James Potter » ça va
marcher. Bon, aller, je tente. Je sors ma baguette, la pointe vers moi,
et je pense très fort au manoir de James en fermant les yeux. Je
ressens cette habituelle pression sur tout mon corps dut au tranplanage.
Lorsque je respire une grande bouffée d’air j’ouvre
les yeux. Devant moi, ce trouve un grand manoir. Ça a peut-être
marché. Je marche en direction de cette énorme maison. Devant
la porte, je sonne en espérant de toutes mes forces que James se
trouve à l’intérieur. La porte s’ouvre. C’est
une jeune femme qui m’a ouvert.
-Bonjour, me dit-elle
-Bonjour. Euh… est ce que James Potter habite ici ?
-James ? Oui il est là. JAMES ! Crie t-elle, IL YA QUELQU’UN
QUI TE DEMANDE ! Oh entrez, je vous en prit, me dit-elle pour finir.
Ouf ! J’ai réussi apparemment. A ce moment là James
apparaît. Lorsqu’il me voit, il paraît très surpris.
-Lily ? Mais qu’est ce que tu fais ici ?
Je suis tellement soulagé de le voir que je me jette dans ses bras.
-J’ai eu si peur de ne pas réussir à te retrouver,
lui dis-je en me séparant de lui. J’ai reçu une lettre
de…lui.
-Toi aussi ? Me dit-il sérieusement. Viens, on va dans ma chambre.
La jeune femme qui m’avait ouvert, était toujours là.
-C’est vraiment gentil de me présenter James, dit-elle. On
voit que tu connais les bonnes manières.
-Oh désolé, dit James. Lily voici ma cousine, Camille. Camille
voici Lily Evans, une amie. Elle est dans ma classe à Poudlard.
-Enchanté de faire ta connaissance, me dit Camille en me serrant
la main.
-moi aussi, lui dis-je.
-Viens Lily.
Il me conduit vers sa chambre. Sa maison est gigantesque. Il y a plein
de pièce partout, de grands escaliers. Ma maison fait même
pas la moitié de celle –ci. Quand je rentre dans la chambre
de James je vois que cette pièce est aussi gigantesque et aussi
très bien rangé. Je m’assois sur son lit.
-tu as une idée de ce qu’on doit faire ?
-j’y ai réfléchi, me dit-il. On doit lui répondre
par courrier et aujourd’hui. Il a bien insisté pour qu’on
lui écrive le plutôt possible et si on ne lui répond
pas vite il pourrait commencer à tuer jusqu'à ce qu’il
ait une réponse.
-Et Dumbledore ? On le prévient par courrier aussi ?
-Oui. Et il faudra lui expliquer qu’on a déjà agis.
J’espère que ce plan te convient ?
-On a pas trop le choix. Tous ce que je veux c’est d’en finir
avec cette histoire et au plus vite. On se partage les taches ? Tu écris
à Voldemort et moi à Dumbledore.
-Eh ! Pourquoi c’est moi Voldemort ? Protesta t-il avec un air enfantin,
qui me fait craquer.
-parce que c’est toi le mec.
-mouais. Peut être mais ce n’est pas une raison. Bon très
bien je vais le faire mais arrête de faire cette tête, ajouta
t-il en voyant ma tête faussement boudeuse.
Il chercha dans son bureau deux rouleau de parchemin et deux plumes, et
me passa un de chaque objet. Je vais vers le bureau et commença
à écrire la lettre pour Dumbledore.
Cher professeur Dumbledore,
Je vous écris afin de vous avertir que James et moi avons chacun
reçut aujourd’hui une lettre de Voldemort nous demandons
de répondre à sa proposition. Dans ses lettres il avait
bien précisé que nous devions répondre au plus vite,
et c’est ce que nous avons fait. Aujourd’hui même nous
lui avons renvoyé une lettre afin de refuser.
J’espère que vous comprenez notre décision.
Nous vous reverrons à Poudlard.
Lily Evans.
P.S : je vous souhaite un Joyeux Noël.
-Ca y est j’ai fini, dis-je.
-Moi aussi, dit James.
Il envoya les deux lettres avec ses deux hiboux. Et voilà, maintenant
il ne reste plus qu’à attendre.
Je me rassois sur le lit et soupira. Je baisse les yeux au sol, mais je
sens qu’il me regarde.
-Je vois que tu portes le collier que je t’ai offert, j’espère
qu’il te plait au moins.
-je l’adore. Il est magnifique et tu n’aurais pas dû
m’offrir quelque chose d’aussi beau. Et mon cadeau est minable
par rapport au tiens.
-Pas du tout, dit-il. De toute façon, il me fallait un nouveau
nécessaire à balai. Ton cadeau tombe très bien je
t’assure. Et je ne te dis pas ça juste pour te rassurer,
c’est la vérité.
Je lui souris, et lui aussi, ce qui me fais fondre. Je suis vraiment amoureuse
de lui, j’en suis presque sûr.
-Au fait, il y a ma mère qui veut t’inviter ce soir, pour
dîner.
-Oui bien sûr. De toute façon ma famille doit sortir ce soir,
et je leur avais dit que je ne viendrai pas. Maintenant j’ai une
très bonne raison de ne pas venir avec eux. Tiens ça te
dirais de visiter ma maison ? Je te présenterais ma famille par
la même occasion.
-ouais d’accord.
oOo
J’ai passé une après midi d’enfer avec James.
Il m'a fait visiter chez lui, et c’est immense. Ensuite il m’a
présenté aux membres de sa famille. Ils sont super sympa,
il y a juste une des tantes de James qui est un peu bizarre. Mais sinon
ils sont charmants. Après on est sorti pour se promener un peu.
On a beaucoup discuté, rigolé. C’était chouette.
Ce garçon est tous simplement génial. Je ne suis pas amoureuse
de lui, je suis presque folle de lui. Plusieurs fois je me suis imaginé
entrain de lui prendre la main, de le serrer dans mes bras, et même
de l’embrasser. A chacune de ses rêveries, j’avais comme
des papillons dans le ventre.
Il est presque vingt heures, et on vient d’arriver chez moi. Mais
avant d’ouvrir la porte je me tourne vers James et lui dis :
-avant d’entrer, je te préviens. Ma sœur est très
anti-sorcier alors elle risque de sortir quelques insultes très
subtiles. En plus elle a invité son fiancé, qui lui aussi
est plutôt chiant. Je ne sais pas s’il est courant que je
suis une sorcière mais qu’il soit au courant ou non il me
déteste.
J’ouvre la porte.
-Maman ! Je suis revenue et avec James !
Elle sortie de la cuisine et mon père sortie du salon.
-Ah James, quelque plaisir de te revoir, dit ma mère avec un grand
sourire. Elle le prit même dans ses bras, signe qu’elle l’adore
déjà.
-Bonsoir, madame Evans, et merci de m’avoir invité.
-Mais c’est un plaisir pour moi, et appelle moi Rose, pas madame.
-Bonsoir James, dit mon père en lui serrant la main.
-Bonsoir Monsieur
-Pétunia n’est pas là ? demandai-je à ma mère
-Si.mais apparemment elle est restée dans sa chambre, me répond
t-elle je vais l’appeler. La moindre des politesses serait de venir
saluer James
-non ne vous dérangé pas pour moi. Ce n’est pas grave,
je vous assure.
A ce moment là, la cloche sonna et pétunia débarqua
en courant.
-C’est lui ! C’est Vernon !
Elle ouvrit la porte et se jeta dans es bars de ce gros balourd tandis
que James et moi allons dans le salon. Lorsque Pétunia et Vernon
entrèrent dans le salon, ce dernier toisa James et moi du regard.
Il s’avance vers nous et nous sert la main froidement. Ensuite il
se tourne vers Pétunia et lui dit :
-le copain de ta sœur fait aussi part de ces monstres !
Non mais j’ai bien entendu ? Il nous a traité de monstre.
-Et bien bravo Pétunia, je vois que tu lui as très bien
donné ton opinion sur les sorciers.
-Il fallait bien que je le mette au courant sur les bizarreries de sa
future belle-famille.
Ma mère qui avait aussi tout entendu se mit en colère
-Je trouve que tu es très grossière Pétunia. D’abord
tu ne salue même pas James, et ensuite tu le traite lui et ta sœur
de monstre. Ce n’est pas comme ça qu’on se comporte
avec les invités. Et combien de fois faudra t-il te dire que le
fait qu’il y ait des sorciers dans ce monde est un bien pour tout
le monde. Ils ont reçu un don du ciel et non une malédiction.
Ce ne sont pas des monstres ! James je suis vraiment désolé
pour son insulte.
-ne vous en faîtes pas, dit-il.
-très bien je suppose que vous avez tous faim, dit ma mère.
Les hommes allez donc dans la salle à manger. Les filles venaient
avec moi.
Pétunia et moi suivons ma mère dans la cuisine.
-je trouve que James est vraiment merveilleux comme garçon ( et
c’est reparti ). Il est très poli, galant et vraiment très
séduisant, ce qui ne gâche rien. Qu’en pense-tu Lily
?
-je partage ton avis, dis-je en prenant des couverts.
-Maman ? Ne trouve-tu pas que Vernon et lui aussi très séduisant
? Demanda Pétunia.
Elle doit toujours ramener tous à elle. Alors je lui dis à
voix basse pour qu'elle seule entende
-c’est vrai que ses nombreux bourrelets, et son triple menton lui
donne du charme.
Je la laisse planté là et je vais dans le salon en prenant
avec moi les couvert et imaginant l’air indigné de Pèt’
Le dîner se passe super bien, et mes parents prêtent beaucoup
attention à James, surtout ma mère. Elle lui demande beaucoup
de détail sur sa vie, sur ses ambitions futures, et ma très
chère maman, a aussi voulu savoir s’il comptait fondé
à fonder une famille et avec qui il aimerait la fonder. Je l'ai
vu rougir, ce qui d’habitude, n’est pas normal. Il avait bafouillé
qu’il avait bien l’intention d’avoir une famille, comme
tout le monde mais il ne savait pas avec qui. Il verrait avec le temps.
Il ne voulait pas se tromper sur la personne. Et c’est à
ce moment là que ma mère me regarda comme pour me dire «
qu’est ce que t’attends ? Fonces ! ».
Après le dîner, on part dans le salon. Mes parents prêtèrent
un peu plus d’attention à Vernon cette fois – ci et
pétunia se redressa comme par fierté. Elle est pitoyable.
Ma mère veut surtout parler de leur futur mariage, alors que mon
père, lui, préfère discuter avec James, sur le métier
que voulait faire James, ce qui est cent fois plus intéressant
que de savoir combien d’étage fera la pièce montée.
Pétunia voyait que son père ne lui prêtait aucune
attention, et quand elle n’est pas celle qui intéresse tout
le monde elle s’énerve :
-Papa ! Tu pourrais quand même, participer à notre conversation
voyons. C’est très important mon mariage.
-Désolé, ma chérie, dit-il. Mais le métier
que veut faire James me paraît si intéressant, que j’ai
voulu en savoir plus.
-je doute que le métier d’un des ces monstres soit plus intéressant
que de mariage de ta fille.
Je vais la tuer ! non mais comment ose t-elle parler comme ça.
Mes parents sont très en colère. Je regarde James qui al
regarde avec haine. Avant que mes parents interviennent, il dit :
-T’as un problème contre les sorciers ?
Pétunia fait comme si elle n’avait rien entendu.
-je t’ai posé une question. As-tu un problème contre
les sorciers ? Répète t-il en élevant plus la voix.
Ce que remarqua Vernon :
-Eh ! Tu baisses d’un ton.
-Toi tu ne vas pas commencer à jouer au chevalier servant ! dis-je
-Le monstre, on t’a pas sonné, dit Pétunia.
On était tous les quatre debout. James paraissait fou de rage.
-Traites la encore de monstre, et je te jure que tu vas connaître
une souffrance telle que tu n’en as jamais eu, dit-il
-Et toi menaces la encore et je te colle mon poing dans la figure, dit
Vernon
-comme si un cachalot comme toi pouvait oser frapper un sorcier, se défendit
James.
-Tu crois que j’ai peur d’un bout de bois.
-C’est ce qu’on va voir, dit James en sortant sa baguette
et en la pointant vers Vernon.
Bien qu’il dit qu’il ne pas avoir peur d’une baguette,
il prit une teinte violacée, tandis que j’intervins :
-Non James, laisse tombée. Tu pourrais avoir des ennuis juste à
cause de cet abruti.
-je t’interdis de le traiter d’imbécile ! S’énervé
Pétunia.
-et pourtant c’est ce que vous êtes tous les deux ! Criai-je.
Toi et lui, tous ce que vous voyez c’est que nous avons des pouvoirs,
que nous sommes différents des gens normaux ! Mais ce que vous
ne voyez pas c’est que nous, les sorciers, on vous sauve la vie
! En ce moment il y a pleins de psychopathes dans le monde entier, qui
veulent vous tuer, mais nous nous les empêchons de vous détruire,
alors ayez un peu de reconnaissance pour une fois, et arrêtez de
nous traiter de monstre !
-Et bien justement, si vous n’étiez pas là, il n’y
aurait de psychopathes comme vous dîtes. Tous ça c’est
à cause de vous ! Tout serait tellement mieux si vous n’existiez
pas ! Cria Pétunia à son tour.
Il y eu trente secondes de silences et Vernon dit :
-Je vais m’en aller. Au revoir. Il alla vers la porte et pétunia
le suit.
-je vais m’en aller moi aussi, dit James. Merci pour ce merveilleux
repas Rose, c’était super. et je suis aussi désolé
pour le remue-ménage, mais je ne pouvais supporter de l’entendre
insulter les sorciers.
-Ne t’en fais pas pour ça, dit ma mère. C’est
compréhensible. C’est plutôt à moi de m’excuser
pour le comportement de ma fille. Croie moi elle va passer un sale quart
d’heure. Pour te dire vérité je te préfère
cent fois plus à Vernon. Toi au moins tu as eu la politesse de
t’excuser même si ce n’est pas ta faute. Vernon peut
être parfois charmant, mais je n’aime pas trop ses manières.
-bon et bien au revoir, dit James en serrant la main de ma mère
et de mon père.
-J’espère te revoir James.
-Oui moi aussi.
-Viens, on va dans le jardin. C’est mieux pour transplaner, dis-je
à James.
une fois dans le jardin je laisse exploser ma rage.
-Je la déteste, si je le pouvais, je la tuerais, elle est insupportable.
Ce n’est qu’une sale garce.
-Ca je te l’accorde, me dit-il.
-Dire qu’elle fait parti de ma famille. C’est inhumain de
détester sa sœur et pourtant c’est ce qui ce passe,
dis-je les larmes aux yeux. Cette situation me fait souffrir.
-Ne vois pas les choses sous cet angle, me dit-il en mettant sa main sur
joue, ce qui fait mon cœur battre plus fort. Puisque ta sœur
ne te considère pas comme un membre de sa famille, tu n’as
qu’as en faire autant. Tu as trop de cœur, et elle, elle le
piétine. Tu ne mérite pas d’avoir une sœur aussi
épouvantable qu’elle. Tu es trop merveilleuse pour ça.
Encore un peu plus il me fait pleurer. Je le regarde dans les yeux et
il en fait de même. C’est un moment magique, inexplicable.
Ce qui ce passe n’as pas de mot, tus ce que je sais c’est
que de me perdre dans ses yeux, remplit mon cœur…d’amour.
Oui c’est ça. Je suis tellement plongé dans ses magnifiques
yeux noisettes, que ne m’aperçois presque pas que son visage
se rapproche du mien. Quand je m’en rends compte sa bouche est à
quelques centimètres de la mienne. Je panique, mais d’un
côté je meure d’envie de l’embrasser. Finalement
mon envie prend le dessus et je comble vide qu’il y a entre nos
deux bouches. Wouaou ! Ses lèvres sont si douces et si chaudes.
Je perds totalement la notion du temps, et tous ce qui compte à
présent c’est lui et moi en train de nous embrasser. Je ne
sais combien de minutes sont passées. Quand il met fin à
se baiser, je suis encore dans les nuages.
-euh… je dois y aller, dit-il assez gêné. A bientôt.
Puis il transplane.
Je reste là, dans le jardin en repensant ce qui venait de se passer.
Jamais je n’avais embrassé un garçon comme ça.
Quand on s’est embrassé, j’avais l’impression
de lui transmettre tous les sentiments que j’avais pour lui. A t-il
comprit que je suis tombé amoureuse de lui ?
Et lui, qu’a t-il ressentit ? A t- il des sentiments pour moi ?
Il m’a toujours dis qu’il m’aimait, mais je ne le croyais
pas. pourtant depuis le début de cette année, il ne me l’a
plus redit, alors que maintenant, j’ai envie d’y croire. J’ai
envie de croire que j’ai une chance avec lui, j’ai envie de
croire que je l’aime, et si jamais il me redit qu’il m’aime,
je le croirais.
A bientôt !

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