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LIENS
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Chapitre
12
Ça y est, James
et moi on sort ensemble. J’en reviens toujours pas. Je suis tellement
heureuse.
En ce moment, il est six heures et demi, et je suis la seule réveillée.
J’ai très peu dormit cette nuit. Sans doute le bonheur qui
me fait cet effet. En tous cas quand je suis rentré dans le dortoir
il était une heure et demi du matin, et tout le monde était
endormi. Je pensais que Pauline et Mélissa allaient attendre pour
savoir, mais à la fin, je suppose qu’elles ont tellement
attendu qu’elles sont allées dormir alors je n’ai pas
voulu les réveiller.
Qu’est ce qu’on a fait James et moi jusqu'à une heure
du matin ? On a discuté, on s’est embrassé, on s’est
dit des petits mots doux. C’était vraiment romantique. On
aurait dit que nous étions dans un de ces films moldues, à
l’eau de rose. Rien que d’y penser j’en frissonne de
bonheur. J’ai l’impression d’être dans les nuages.
Je crois n’avoir jamais était aussi heureuse. Je n’arrête
pas de pensé à la déclaration de James. Ca aussi
c’était très romantique. Ah ! Que du bonheur !
J’ai vraiment hâte de voir James tout à l’heure,
mais par contre j’ai un peu peur de la réaction des gens
quand ils apprendront que je sors avec lui. Après tout, tout le
monde se demandait si j’allais un jour où l’autre avec
lui. Ce dont je suis sûr en revanche c’est que ça ne
va pas du tout plaire au fan club de James. A ça non. Je parie
n’importe quoi que la moitié de ces filles aillent pleurer
et que cette pauvre idiote de Sally Smith va soit avoir une crise cardiaque,
soit s’évanouir, soit me hurler dessus que je lui ai volé
son futur petit copain, soit… bref, quoiqu’il arrive, elle
va régir. Si ça se trouve, elle va même essayer de
se venger, mais vu son cerveau pas très développé,
elle va essayer le filtre d’amour et l’embrasser devant mes
yeux pour que je croie qu’il me trompe et que moi je suis juste
un coup comme ça. C’est typique des filles complètements
bêtes et désespérées.
Pauline bouge à côté de moi, je crois qu’elle
se réveille. Elle me jète un coup d’œil, et semble
un peu surprise.
-Déjà debout à cette heure ? Me dit-elle d’une
voix endormie.
Je crois qu’elle ne se rappelle pas encore ce qui c’est passé
hier soir. Après tout, c’est elle qui m’a dit de rester
pour parler avec James. Je vais lui raviver un peu sa mémoire.
-Tu sais très bien que quand je suis heureuse je ne dors pas.
Et voilà, cette phrase a eu l’effet que je voulais. Pauline
se redresse et semble tout à fait réveillé à
présent.
-T’es heureuse ? Pourquoi t’es heureuse ? Qu’est ce
qui te rend heureuse ? Me dit-elle d’une voix excitée, tout
en sortant de son lit pour se diriger vers le mien.
-Je sors enfin avec James, dis-je avec un grand sourire.
Elle lança un grand cri de victoire, et de joie qui me fait rire,
mais pas à Alice et Mélissa, qui se sont réveillées
en sursaut.
-Non mais ça va pas ! Ce plaint Alice. Qu’est ce qui te prend
de hurler comme ça ? Tu as failli réveiller tout le château.
-Devinez quoi ? Notre plus grand souhait s’est enfin réalisé
! dit Pauline
-Voldemort a été tué ? demanda Mélissa
-Non ça, ça aurait été trop beau pour être
vrai. Non c’est complètement différent. Dis leur Lily.
Mélissa et Alice me regardent, et moi je leur annonce joyeusement
:
-Depuis hier soir, je sors avec James.
Alice et Pauline poussèrent le même crie que celui de Pauline.
Là, elles vont vraiment réveiller toute l’école.
Elles se précipitent vers moi pour me prendre dans leur bras. A
ce moment là, deux filles de sixièmes années arrivèrent
dans le dortoir, un peu apeurées.
-Qu’est ce qui ce passe ? On vous a entendu crier, et ça
a réveillé tout le monde. Tous les gryffondors sont en bas
et…
-T’es sérieuse ? Dit Pauline. C’est l’occasion
Lily pour annoncer la bonne nouvelle à tout le monde.
-Je ne vais rien annoncer du tout et…
-Alors c’est moi qui vais le faire, dit Pauline
Elle sort précipitamment du dortoir, et moi je me précipite
de sortir de mon lit et de sortir à mon tour du dortoir. Non mais
elle est folle cette fille. Zut! Elle est déjà descendue
un bas ne sachant plus quoi faire, je crie :
-Pauline Ashton, si jamais tu dis un seul mot…
-Chers amis de gryffondor…
Oh non c’est pas vrai, elle va vraiment le faire. J’arrive
en bas je vois que, effectivement, tous les gryffondors sont là,
en pyjama et je vois que James est aussi ici, avec ses amis. Merde !
-… J’ai le très grand plaisir de vous annoncer que
notre très chère préfète en chef adorée
Lily Evans…
Je vois que James à comprit l’intention de Pauline car il
a les sourcils froncés. Elle dit un mot de plus et je l’égorge.
-…et que notre super capitaine de Quidditch James Potter…
C’est bon elle est morte.
-Pauline tais-toi ! Lui dis-je tout bas, tout en essayant de lui fermer
la bouche avec ma main, mais a chaque fois elle esquive.
-…sortent enfin ensemble !
Oh non ! Elle l’a dit. Elle a osé le dire. Je vais l’étrangler,
l’égorger, la zigouiller, la… grr, je suis tellement
énervé que je perds mes mots.
Cette annonce provoque des applaudissements, des sifflements, et des cries
de joie de la part de tous les gryffondors. Quant à moi je rougis
fortement et je mets ma tête dans mes mains. Ce n’est pas
que j’ai honte de ça, pas du tout, mais je ne sais pas comment
réagir. Bon allez, je vais faire preuve de courage. Je vais remettre
mes mains le long du corps, essayer d’arrêter de rougir et
affronter ce qui se passe. je m’exécute et je vois plein
de filles autour de moi, qui me parle :
-Wouaou, tu as trop de la chance de sortir avec lui
-J’étais sur qu’un jour où l’autre vous
sortiriez ensemble. Félicitation.
-Il embrasse bien ?
Ca devient un brouhaha infernal dans la salle commune. J’essaye
de voir ce qui se passe avec James, et il y a tout un tas de garçon
avec lui qui le félicite.
Ah tien il s’écarte d’eux. Je crois qu’il vient
vers moi. Bon il faut que me contrôle, il ne faut pas que je rougisse.
Quand les filles s’aperçoivent que James s’approche
de moi, elles le laissent passer. Une fois devant moi, il me dit :
-Tu viens Lily, on devrait parler seul à seul.
Il me tend la main, je la prends, et nous nous dirigeons vers son dortoir.
Mais avant d’arriver dans les escaliers, je m’arrête
en arrêtant aussi James et je préviens tout le monde :
-Le premier qui crie, qui applaudit ou qui montre un signe visible d’enthousiasme,
c’est trois semaine de retenue, tous les jours, et avec Rusard.
Maintenant tout le monde dans son dortoir, pour se préparer pour
les cours, sauf les garçons de septièmes années euh…
vous restez ici jusqu’au ce qu’on ait euh… fini de parler.
Et sur ce je monte dans le dortoir des garçons avec James. Quand
nous sommes seuls, il me dit en souriant :
-Je ne savais pas que tu comptais annoncé à tout le monde
qu’on sort ensemble de cette manière.
-Je n’allais pas du tout faire ça, dis-je énervé.
Tu sais très bien que je préfère la simplicité
pour ce genre de nouvelle. J’avais prévu de faire comme si
c’était un jour normal, d’arriver dans la grande salle,
de t’embrassais pour te dire bonjour, et voilà tout le monde
aurait été au courant, c’est tout, mais non avec Pauline,
il faut que ça fasse la une de la gazette des sorciers. Je te jure
qu’elle va passer un sale quart d’heure
-Oui c’est vrai qu’elle a fait fort, mais est ce que ça
a vraiment d’importance ? De toute façon tout le monde l’aurait
sut aujourd’hui, alors dit d’une façon ou d’une
autre.
Il a raison. Ce ne sont que des détails sans importance. Ce qui
est important c’est que maintenant, on est ensemble.
Je lui souris et je me blottis dans ses bras. Ah ! Que du bonheur !
-Bon je vais devoir aller dans mon dortoir pour me changer. Je te vois
tout à l’heure.
Je me sépare de lui et me dirige vers la porte, mais James me retient
par la main :
-Attendez, miss Evans, je crois que vous avez oublié quelque chose
de très important, me dit-il.
Je vois très bien où il veut en venir.
-Ah vraiment ? Et bien, pourriez-vous me rappeler ce que j’ai oublié
monsieur Potter, lui dis-je en faisant semblant de ne me rappeler de rien.
Il se rapproche de moi avec un sourire, il penche sa tête et m’embrasse.
Ah ! Que du bonheur ! Je sais, je répète souvent cette phrase,
mais franchement c’est la seule phrase qui me vient en tête.
Quand il m’embrasse c’est si…si… je ne trouve
même pas les mots pour dire à quel point c’est…
fantastique, magnifique.
A contre cœur, je me sépare de lui.
-Maintenant j’y vais, lui dis-je.
Je lui fais un dernier bisou, et je sors du dortoir.
Quand je suis dans mon dortoir, il y a Pauline, Mélissa et Alice,
prêtent et qui m’attendent. Je suis sûr qu’elles
veulent des détails. Mais là il n’y a pas le temps.
Je prends ma serviette dans ma valise, et je vais dans la salle de bain,
mais avant je dis aux filles :
-Je sais ce que vous voulez, mais je vous dirai tous plus tard. Pour le
moment je vais me préparer.
Vingt minutes plus tard, je suis prête, et je descends du dortoir
avec Pauline Mélissa et Alice. Dans la salle commune, il y a les
Maraudeurs et Franck qui nous attendent. Dès que j’aperçois
James, je souris. Pauline me voit, et me dis à voix basse en riant
:
-L’amour te fait perdre la boule.
Je lui tire la langue en guise de réponse. Et alors si je perds
la boule à cause de l’amour, c’est quoi le problème
?
Une fois devant mon chéri (et oui maintenant c’est mon chéri)
il me prend la main, et pour la deuxième fois de la matinée,
m’embrasse. Encore une fois, c’est le paradis. Quand on se
sépare, Sirius dit :
-Regardez comme ils sont mignons.
-On verra ce que tu feras quand tu sortiras avec Pauline, Patmol, lui
dis-je pour lui clouer le bec.
Ce que je viens de dire, a eut pour effet, d’embarrasser Pauline
et Sirius. Remus, Peter, Franck, Alice et Mélissa, me regardent
légèrement surpris. Je crois que c’est parce que j’ai
dit Patmol. Quant à James il me sourit. Sirius reprend le dessus
:
-Et bien, à ce que je vois, Lily que tu t’es vite intégré
au groupe des Maraudeurs. Généralement il n’y a que
James, Peter ou Remus qui m’appellent Patmol, mais bon comme tu
es la femme d’un maraudeur tu as le droit de m’appeler comme
ça.
S’il croit m’embarrasser en disant que je suis la femme de
James, il se goure. Je lui souris en guise de réponse.
Sans ajouter un mot, nous nous dirigeons tous vers la grande salle pour
prendre un petit déjeuner, et James et moi nous marchons main dans
la main, sans nous soucier des regards des élèves. Je crois
bien que la nouvelle à déjà circuler. Quand nous
arrivons dans la grande salle, mes doutes son confirmé. Un bon
nombre d’élèves étaient déjà
au courant, et je vois qu’il y en a plusieurs qui se redressent
sur leur banc pour voir si oui ou non, James et moi sommes un couple.
Ca me met un peu mal à l’aise vue que je n’ai pas l’habitude.
Je vois aussi que les filles du fan club de James sont scandalisées.
Ça par contre ça me donne envie de rire, mais je me retiens.
Le petit déjeuner ce passe à merveille. Le courrier arrive,
et comme tous les jours je reçois la Gazette des sorciers. Je lis
le gros titre.
-Eh! Ecoutez, il y a eu une attaque de Voldemort. Il a tué quelqu’un,
dis-je.
-Et qui est-ce ? Me demande James.
-Jack.
Tout le groupe me regarde avec les yeux ronds.
-Jack Crighton ? Dit Pauline. Le salop qui a faillit te violer?
-lui-même. Ecoutez ce que dit l’article : Jack Crighton, âgé
de dix-huit ans, ancien élève de Durmstrang et de Poudlard,
a été retrouvé mort dans l’allée des
Embrumes hier dans l’après midi, et avec la marque des ténèbres
au-dessus de son cadavre. D’après nos informations, Crighton
était du côté de Celui Dont On Ne Doit Pas Prononcer
Le Nom, et tout porte à croire qu’il a été
tué par Celui-ci. Et après ça dit tout un tas de
truc pas très important.
-Je n’ai qu’une chose à dire, Bien fait pour lui, dit
Sirius. Il n’a eu que ce qu’il mérite ce fumier. Par
contre, je ne comprends pas pourquoi Voldy l'a tué. Il faisait
quand même un très bon rôle d’espion. Personne
ne s’est douté de rien, même pas Dumbledore.
-Je pense que Voldemort la tué, parce qu’il ne lui servait
plus à rien, dis-je. Crighton, n’avait plus de baguette,
et pour Voldemort, il faut quand même avoir un minimum d’utilité.
Et puis en plus, il avait raté sa mission. Il est parti de Poudlard,
six mois plus tôt que prévu.
-Ca ne te fais rien qu’il soit mort ? Demanda Mélissa. C’était
ton ami au début quand même.
-Ce n’était pas trop mon ami, c’était plus un
camarade. Qu’il ait été tué ça me fait
de la peine pour lui. Je ne souhaite à personne d’être
tué par Voldemort, pas même mon pire ennemi.
-Tu as trop de cœur Lily, dit James en me regardant comme avec amour,
enfin je crois. Il a essayé de te violer et pourtant tout ce que
tu ressens c’est de la compassion. Moi je pense comme Sirius.
Après avoir bien manger, on est sur le point de partir pour notre
premier cours, mais James dit :
-Allez-y, je vous rejoins dans quelques minutes. Il faut que j’aille
voir Mcgonagall pour savoir la date du prochain match de Quidditch
Avant que nous nous séparions, il m’embrasse, puis il se
dirige vers la table des professeurs.
Pauline me regarde et dit avec un grand sourire :
-Je vous trouve trop trognon ensemble.
Tous ce que je trouve à faire c’est de lui sourire pour lui
montrer mon bonheur. Nous partons pour notre cours d’enchantement.
A peine nous sommes arrivés devant la salle, que Sally Smith se
précipite vers moi, et apparemment elle est très énervée.
Je me demande pourquoi.
-Evans, j’ai deux mots à te dire, me dit-elle en croisant
les bras. Je suppose que tu es fière de toi ?
-Pourquoi devrais-je être fière ?
-Tu m’as volé mon futur petit copain.
Qu’est ce que j’avais dis, elle me reproche de lui avoir voler
James. Je soupire. Elle me fait pitié.
-Tu m’as pris James. Il est à moi, c’est l’homme
de ma vie, et tu me l’as piqué.
Je continue à la regarder.
-Tu t’es mis en travers de notre chemin…
Bon là ça suffit, elle m’énerve.
-T’as pas un peu fini avec « tu ma pris-ci, tu m’as
pris-ça » ça devient pathétique. James n’appartient
à personne et encore moi à une pauvre petite conne comme
toi. Il fait ce qu’il veut, y comprit avec qu’il veut sortir.
Alors grandit un peu, on est plus en primaire. Ce n’est pas avec
un comportement pareil que tu trouveras quelqu’un.
-C’est qui que tu traites de petite conne ? dit-elle d’un
air menaçant.
-Toi.
-Je te jure Evans, que je me vengerais. De un pour m’avoir insulter
et de deux pour avoir pris ma place au près de James. Je le reprendrais,
sois en sûr…
-Je serais curieux de savoir comment, dit une voix derrière elle.
Ce n’est autre que James. Sally se retourne, toute rouge de honte.
-Salut James ! Comment vas-tu ? J’ai appris que tu sortais avec
Evans. Si tu veux mon avis, ce n’est pas un choix très judicieux.
Il y a plein d’autres filles bien mieux et qui te conviendraient
mieux je pense.
Non mais quel culot. Cette garce ose dire ça alors que je suis
juste derrière elle.
-Ah oui ? Qui par exemple ? Toi, dit–il avec le sourcil gauche levait,
et l’air énervé.
-Je n’osais pas le dire, mais je pense que oui. Moi au moins je
suis une vraie femme, pas comme Evans qui vient vers toi, dès qu’elle
a un gros problème, et en plus…
-Je doute que tu sois une vraie femme, surtout après ce que je
viens d’entendre, dit James d’un ton sec. Et à ce propos,
essayes quoique soit pour me séparé d’elle, tu le
regretteras amèrement.
Pour al première fois, Sally s’énerva sur James.
-Très bien, je ne tenterais rien pour que tu rompes avec Evans,
mais de toute façon, un jour ou l’autre, tu le feras toi-même
et à ce moment là…
-Bon écoute, tu commences à m’énerver avec
ton discours débile. C’est minable. Sache juste une chose,
je ne romprais pas avec Lily, pour la bonne raison que je ressens pour
elle, des choses que je ressentirais jamais pour toi.
Il y a beaucoup de monde autour de nous. Ils écoutent toute la
conversation. Et là James vient d’avouer en quelque sorte
devant tout le monde son amour pour moi. Sally, elle, le regarde avec
beaucoup d’étonnement. Ce genre de regard que font les salopes
dans les séries télé moldues, lorsqu’elles
n’en croient pas leurs oreilles. De toute façon elles me
rappellent ce genre de filles.
-Quoi ? Tu es en train de dire, que tu es amoureux de Lily Evans ?
Tout à coup elle éclate de rire, mais elle rigole toute
seule. Les autres ça ne les fait pas rire. Ils la regardent presque
avec pitié.
-Oui je l’aime, dit-il avec fierté, et toi tu devrais arrêter
rire, parce que tu t’enfonces.
Et sans un autre mot il se rapproche de moi, il me prend la main, et on
s’écarte de la foule, suivit de Pauline, Mélissa,
Alice Franck et le reste des Maraudeurs. Ce garçon est fantastique.
Il a dit devant une bonne trentaine de personne qu’il m’aimait
et sans honte.
-C’était trop mignon ce que tu as fait James, dis Mélissa.
Il n’y a pas plus belle preuve d’amour.
A ce moment là la porte de la salle de cours s’ouvre. Maintenant
il faut se concentrer sur le cours, mais y arriverais-je ?
POV James.
C’est la meilleure journée que j’ai passé de
toute ma scolarité, même de toute ma vie. Sortir avec Lily
me donne un sentiment nouveau. J’avais comme un manque dans ma vie,
mais depuis que Lily et moi sommes ensemble, ce manque à disparu.
C’est merveilleux. Même les cours me paraissent plus intéressant
que d’habitude. Dire que tous les jours se passeront comme ça
à l’avenir. Tous les jours un vrai bonheur de se lever, et
de passé une bonne journée en compagnie de la femme que
j’aime.
Que je sorte avec Lily à fait le tour de l’école et
tout le monde ne parle plus que de ça. Les filles de mon Fan club
m’ont laissé tombé, enfin. J’en avais vraiment
marre d’elles. Plus elle voyait que Lily se rapprochait de moi,
plus elles devenaient collantes. Le seul problème, c’est
qu’elle me remplace par Sirius ou Remus. Ça pose vraiment
un problème, surtout pour Pauline et Mélissa. Je pense bien
qu’elles sont jalouses, et ça se voit plus chez Pauline.
Elle est d’une humeur massacrante. Rien que tout à l’heure,
vers vingt heures, tout le groupe était dans la salle commune faire
ses devoirs, sauf Sirius. Quand il est revenu, Pauline l’avait regardé
avec un œil noir :
-Tiens, tu es enfin revenu ? Tu faisais quoi? Tu profitais de ton fan
club. Maintenant, qu’il y a plus de filles stupides, cela ne m’étonnerait
que tu veuilles rester le plus possible avec ces pauvres connes.
Sirius l’avait regardé avec des yeux ronds, puis il avait
sourit :
-Ne serais-tu pas jalouses par hasard ?
-Moi ? Jalouse d’elles ? Ne rêves pas trop Black.
-Oh mais que si tu es jalouse, avait-il dit avec un sourire triomphant.
La preuve tu m’appelles Black alors que ça fait un baille
que tu ne l’as pas fait. Et d’habitude tu es plus aimable,
mais depuis que mon Fan club s’est agrandit, tu t’énerves
dès qu’on aborde le sujet des filles qui m’entourent.
Conclusion, tu ne supportes pas voir toutes ces filles autour de moi.
-Vas te faire voir, avait-elle dit en fermant d’un coup sec son
livre et en se levant. Le jour où je serais jalouse de ces truies
se sera le jour où les cochons auront des ailes. Je vais me coucher.
Bonne nuit.
Et elle est partie dans son dortoir.
-Tu sais Sirius, avait dit Lily après le départ de Pauline,
ce n’est pas en agissant ainsi que tu réussiras à
sortir avec elle.
-Ce n’est pas ma faute. A chaque fois, elle me défie et fait
la dure, et l’a voir faiblir un peu ça me fait en quelque
sorte plaisir.
-Mais ce n’est pas une raison pour ne pas te montrer doux avec elle,
avait dit Mélissa. Elle fait peut être la dure, mais c’est
quand même une fille très romantique, et qui aime bien que
les garçons lui montre de l’attention. Elle est sensible
elle aussi.
-J’ai une idée, avait dit Lily, le lendemain de la Saint
Valentin, il y a une sortie à Près au Lard de prévue
à l’occasion de le fête. On ira chacun par couple :
James et moi, Toi Sirius, avec Pauline, Mélissa et Remus, inutile
de me regarder comme ça tous les deux, et toi Peter, tu n’auras
qu’à y aller, avec une fille de ton choix, par exemple la
fille avec qui tu es allé au bal de Noël, vous étiez
bien tous les deux. Pendant cette sortie Sirius, tu devras te conduire
comme un vrai gentleman. Tu devras être gentil, attentionné,
galant, et bien entendu, lui offrir un cadeau. Ce sera un très
bonne occasion si tu veux conclure avec elle. Dès que l’annonce
de la sortie sera affichée, tu devras lui demander immédiatement
après. Est-ce que ce plan te convient ?
Il avait réfléchit quelques instant.
-Ouais d’accord.
Puis il se tourne vers moi et me dit :
-Elle a presque le même cerveau que toi. C’est le même
genre que les plans que tu avais fait au début de l’année,
mais à sa manière.
Je me sentais un peu embarrassé. Lily et moi n’avons pas
tout à fait abordé le sujet de ces plans. Elle s’est
tourné vers moi et me dit :
-Il était au courant pour tes plans ?
-Bah oui et Remus et Peter aussi sont au courant, lui avais-je dit. Il
fallait qu’ils me disent ce qu’il en pense. Je ne voulais
pas foncer tête baissée sans avoir leur avis.
-Ça me surprend que tu prennes bien le fait qu’il ait en
quelque sort joué avec tes sentiments pour que tu le vois d’un
bon œil, avait dit Sirius à Lily.J’aurais cru que tu
allais le gifler, et lui crier des insultes.
Il n’avait pas put s’empêcher de parler. J’ai
cru que j’allais le tuer à ce moment. Mais heureusement,
ce qu’il avait dit n’avait pas envenimé les choses,
bien au contraire.
-Il faut voir la situation sous un autre angle. S’il a fait ça,
c’est qu’il croyait toujours qu’il avait une chance.
Il s’est battu pour moi d’une certaine manière. Et
puis, je ne peux pas lui en vouloir. Il faut même, que je le remercie
parce que s’il n’avait pas manigancé tous ces plans,
je n’aurais pas connu le plaisir d’être avec lui, et
le bonheur que ça me procure.
Elle merveilleuse. Elle a vu exactement ce que je voulais faire en faisant
tous ça. Elle m’a tout à fait compris, et je sens
qu’elle me comprendra toujours. Elle est moi sommes fait l’un
pour l’autre, je n’en ai jamais étais aussi sûr
qu’à cet instant.
POV Pauline
Pourquoi Sirius agit ainsi? Comme si le fait de me voir jalouse qu’il
ait toutes ces groupies autour de lui, lui fait plaisir. Moi ça
me fait souffrir. Je sais qu’il aime leur compagnie, mais moi je
ne veux pas être comme ces filles. Ne peut-il pas m’accepter
tel que je suis. Je sais que j’ai parfois un caractère pas
facile à vivre, mais je suis comme ça et je ne changerai
pas pour lui. J’ai l’impression qu’il me considère
plus comme une amie, qu’une fille avec qui il pourrait sortir. C’est
vraiment dommage parce que je le considère plus comme un garçon
avec qui je pourrais sortir, qu’un ami.
Pourtant je sais que j’ai une chance avec lui. On partage toujours
les même délires, les même centres d’intérêts.
On pense souvent la même chose. Mais apparemment, on ne partage
pas les mêmes sentiments.
Je pense, qu’il croit que je suis une fille dure, qui se fiche de
l’opinion des autres, et qui n’est jamais blessé par
les insultes des autres, les moqueries. Mais j’ai un cœur moi
aussi, comme tout le monde. J’ai des envies, des passions, des rêves,
et des sentiments. Il ne doit pas voir cet aspect de moi apparemment et
c’est regrettable.
Mais après tout, il n’est pas le seul fautif. Je me suis
toujours comporté ainsi. Je n’ai jamais montré l’autre
aspect de ma personne de peur qu’on me blesse. Les seules personnes
qui me connaissent réellement, ce sont Mélissa, Lily et
Alice.
Pourquoi est ce que je mets une barrière autour des moi ? C’est
à cause de mon père. Dans mon enfance j’ai beaucoup
souffert de son manque d’amour pour moi.
Voici toute l’histoire : comme Lily, mes parents sont moldus et
ma naissance n’était pas prévue dans leur vie. Il
avait déjà quatre fils, et mon père ne voulait pas
en avoir un enfant de plus. Il ne m'a jamais prêté attention.
Dès k’il y avait une bêtise, c’était ma
faute et il me frappait, ce n’était jamais à cause
de mes frères, et il n’arrêtait pas de maudire ma naissance.
De plus il ne partageait rien avec moi, il me laissait à part.
C’est ignoble hein ? Mais pourtant c’est ainsi. Et ma mère
? Et bien elle, elle avait peur de mon père. C’était
un homme très dur, et surtout depuis qu’elle m’avait
mis au monde. Elle au moins avait fait preuve d’amour envers moi.
Elle m’a vraiment considéré comme un de ses enfants.
Mes frères aussi étaient super avec moi. C’étaient
eux qui me protégeaient, qui m’amusaient, en bref ils faisaient
leurs rôles de frère.
Dans toute la famille, seul mon père ne me supportaient pas. Mais
pourtant parfois on a plus besoin de l’amour de son père
que celle des ses frères.
Le comble pour lui fut le jour où j’ai reçu une lettre,
me disant que j’étais sorcière. Non seulement j’étais
la seule fille mais qui plus est, j’étais une sorcière.
Cette nouvelle m’avait donné une nouvelle force. Etre une
sorcière voulait dire que j’avais des pouvoirs, donc que
j’étais plus forte que mon père, et que cette force,
allait croître avec les années. Il m’avait encore hurlé
dessus, mais j’étais tellement en colère contre lui
qu’il a gonflé comme un ballon, et qu’il a flotté
dans les airs. Depuis ce jour, il m’ignore et ça me convient.
Je dirais qu’il a peur de moi. Mais malgré tout, j’aimerais
parfois qu’il montre qu’il m’aime.
Voici le secret de mon effroyable enfance.
Mais mon adolescence se passe mieux heureusement. J’ai des amis
que j’aime, des profs supers, et ma vie au château et fantastique.
Mais les dures épreuves du passé ont quand même rejaillit
sur ma personnalité.
Je devrai laisser Sirius traversé le mur qui nous sépare.
S’il existe une chance pour que je sorte avec lui, il fait que je
m’ouvre plus.
Voici ma prochaine résolution, je partage plus ma vie avec Sirius,
et j’essaye de me montrer mon dure. Je vais montrer à ce
cher Sirius Black que moi aussi j’ai un cœur et alors peut
être qu’à ce moment là, il changera d’avis,
et se rendras compte, que je pourrais être plus qu’une amie

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